Donc voilà la fin des aventures de Maria au Japon. Comme d'hab avec l'auteur c'est toujours bien écrit, fun et bourré de caméos de son univers. D'ailleurs je viens à peine de capter qu'Eita deviendra plus tard le photographe qui fera les affiches de Yuriko pour sa campagne électorale.
Si tu es toujours preneur, voici les coquilles relevées durant la lecture.
46/194 : d'avoir employer : d'avoir employé 69/194 : maintenant que vous le dite : maintenant que vous le dites 73/194 : moi et mon mari : mon mari et moi 84/194 : remplacer "cheese" par "ouistiti" pour la traduction ? 84/194 : personne crie mon nom : personne ne crie mon nom 116/194 : yes : oubli de remplacer par un "oui" ou volontaire ? 120/194 : regradez : regardez 158/194 : pas compris le coup de l'accent.
J ai laissé cheese. J ai toujours dit ça et jamais ouistiti. J ai mis yes car ca fait plus 'd'jeuns' (ca colle bien au double dribble) et ça me parait plus fort. Le coup de l accent c est un delire de l auteur. Il y a souvent un perso qui pète un plomb et qui se met à parler le dialect/accent du kansai. Impossible a traduire en fr. C est récurrent chez l auteur.